© Site Officiel Alice Dona - Tous droits réservés
Alice Dona Site officiel
Contact :
Alice marque son r etour sur la scène de l'Olympia , le 12 janvier 2004, pour ses ''Quarante ans déjà !'' , un spectacle qui retrace tous les grands moments de sa carrière. Suite au succès de son Olympia, en parallèle à la parution de son livre témoignage ''Cricri'', Alice sort un cd live pour la première fois de sa carrière... une façon de revivre cette soirée exceptionnelle à l'Olympia marquée par des duos avec Serge Lama, Enrico Macias, Liane Foly, Michel Fugain, Patrick Sébastien et Michel Drucker. Prenant goût à l'écriture, Alice Dona enchaîne les ouvrages. En janvier 2006, elle publie "Mamie a eu 15 ans" , un récit mettant en scène les relations entre une grand-mère et sa petite-fille. Puis, en mai 2007, sort un nouvel ouvrage intitulé "Chanteuses ou coiffeuses ?" dans lequel elle retrace le parcours de ses seize années de cours avec "Les Ateliers Alice Dona". Le 13 mai 2009, Alice sort un roman intitulé "Le Mas des Dames" aux Editions Anne Carrière ; puis, le 23 février 2011, "Quelques cerises sur mon gâteau" , un livre de souvenirs de ses plus belles rencontres, paru aux Editions Flammarion. Parallèlement, elle rejoint la troupe du spectacle d'"Age Tendre et Têtes de Bois" pour les Saisons 6 et 7, faisant ainsi la tournée de toutes les grandes salles de France... Alice fête en 2013 ses 50 ans de carrière : elle sort, le 28 janvier, " Mes petites madeleines" , un nouvel album dans lequel elle interprète les chansons qui l’ont marquée depuis son enfance, dont la réalisation est signée Jean-Félix Lalanne. Les 6 et 7 avril, Alice est en concert à l’Alhambra . Elle travaille actuellement à l’écriture de son nouvel album.
Comme elle aime à le raconter, c'est en voyant Bécaud chanter à la télévision "Le jour la pluie viendra", au tout début des années 60, qu'Alice Dona découvrit sa vocation d'interprète et de compositrice. En 1961, elle entre au "Petit Conservatoire" de Mireille qui l'encourage à écrire ses propres chansons. Son premier disque en 1963, chez Pathé Marconi... S'ensuit une série de super 45 tours ("Mon train de banlieue", "Demain", "j'ai dix-sept ans", "Les garçons", "Le Noël des copains", "Pardon Chopin"... signés pour la plupart - un fait rare pour l'époque -, paroles et musique, par leur interprète. En parallèle, Alice compose avec Jean Nohain ses premiers génériques télé pour "Le grand club" et "Nous qui verrons la lune", deux émissions qu'elle co-anime avec son idole... Gilbert Bécaud . Alice monte pour la première fois sur la scène de l 'Olympia , avec Colette Deréal et Lenny Escudero, du 26 décembre 1963 au 12 janvier 1964. Puis elle rencontre Jean-Claude Vannier et part en tournée avec, entre autres, Orlando, Pierre Perret et les Célibataires. Après un passage à Bobino en première partie de Nougaro, la maternité met provisoirement fin à sa carrière d'interprète en 1967 ! Sur les conseils de son mari qui devient son éditeur, Alice décide alors de placer ses compositions à d'autres interprètes : Gilles Dreu est un des premiers à chanter du Dona ("On revient toujours", 1968). Bientôt, la crème de la variété de l'époque lui emboîte le pas et adopte les musiques d'Alice, sur des textes de Pierre Delanoë ou Claude Lemesle , deux complices qui ne la quitteront plus, ou plus occasionnellement d'autres grandes signatures comme Michèle Vendôme, Maurice Genevoix ou Vline Buggy : Claude François ("C'est de l'eau, c'est du vent", 1970), Joe Dassin ("De ton côté du lit", 1973), Enrico Macias ("Un homme a traversé la mer", 1973), Régine ("La bonne adresse pour chiens perdus", 1973)...
A la même époque, elle fait la rencontre de celui qui va rester jusqu'à ce jour son alter ego, son double musical : Serge Lama . En 1971, elle écrit pour lui "Un j ardin sur la terre". Sélectionnée pour l'Eurovision, la chanson passe inaperçue mais initie une collaboration à quatre mains qui va engendrer quelques unes des plus belles chansons françaises, signées Lama pour les paroles, et Dona pour la musique : "Je suis malade" (1973) bien sûr, véritable standard popularisé par Dalida, "La chanteuse à vingt ans" (1973), "L'Algérie" (1975), "La vie Lilas" (1975), "Femme, femme, femme" (1978) et plusieurs dizaines d'autres perles...
Le tandem écrit aussi pour d'autres grandes voix , de Mireille Mathieu à Nana Mouskouri. Poussée par Serge Lama et Claude Lemesle, Alice relance au même moment sa carrière d'interprète . Entre 1977 et 1987, elle enregistre huit albums , ajoutant au passage quelques incontournables à son répertoire, comme "L'antistar", "Chanson Hypocalorique", "Femme et musique", le somptueux "De la tendresse", "Vivre", "Simplement", "Etre une femme à 40 ans", reprise par Ginette Reno, etc. Pendant ces années, elle est à trois reprises à l'affiche de l'Olympia , poussée par Gilbert Bécaud, fidèle parrain de métier, qui lui fait même le cadeau de lui prêter son célèbre piano bleu pour son premier passage en vedette boulevard des Capucines , un beau soir de 1978. Disques solo, compositions pour les autres, elle écrit aussi pour Serge Reggiani ("Ma dernière volonté", "Le barbier de Belleville"), Dalida ("Comme si tu étais là", "Tables séparées"), Sylvie Vartan ("Riche"), Annie Girardot ("Le dernier baiser"), Sheila ("C'est écrit"), Ginette Reno ("L'argent", "Du bleu, du bleu"), sous le regard amical de Brassens , qui l'a définitivement reconnue comme l'une des siens.
Mais à la fin des années 80, Alice explore d'autres horizons musicaux : présentatrice d'émissions télé et radio, programmatrice de Bobino, présidente de la commission des Variétés de la Sacem, elle n'en oublie pas pour autant l'enseignement de sa chère Mireille, en créant ''Les Ateliers Alice Dona'' , qui formeront des dizaines de jeunes talents, auteurs, compositeurs, interprètes. Alice est ainsi une des premières à donner leur chance à de nouveaux talent. En 1999, Alice retrouve le chemin des studios d'enregistrement. C'est l'album "Couleurs de l'ombre" , sombre mais magnifique témoignage d'une femme de cinquante ans, avec des textes poignants comme "Je pense à l'âge" ou "Dans ce monde-là" ; En prolongement logique de ce retour discographique, Alice remonte enfin sur scène : en 2001, dans l'intimité du Théâtre de Dix Heures , elle offre à son public un florilège de ses plus belles chansons et compositions, qu'elle rassemble aussi sur l'album "Femme et Musique" , paru la même année. Cette fois-ci, Alice est de retour, et pour de bon ! L'année suivante, elle "boucle la boucle", en rendant un hommage unanimement salué à Gilbert Bécaud, dans un spectacle et un disque joliment intitulés "Merci beaucoup Monsieur Bécaud" .
Alice en concert à l’Alhambra
Retrouvez également Alice Dona sur les réseaux sociaux :
© Site Officiel Alice Dona - Tous droits réservés
Alice Dona Site officiel
Comme elle aime à le raconter, c'est en voyant Bécaud chanter à la télévision "Le jour la pluie viendra", au tout début des années 60, qu'Alice Dona découvrit sa vocation d'interprète et "compositrice". En 1961, elle entre au "Petit Conservatoire" de Mireille qui l'encourage à écrire ses propres chansons. Son premier disque en 1963, chez Pathé Marconi... S'ensuit une série de super 45 tours ("Mon train de banlieue", "Demain", "j'ai dix-sept ans", "Les garçons", "Le Noël des copains", "Pardon Chopin"... signés pour la plupart -un fait rare pour l'époque -, paroles et musique, par leur interprète. En parallèle, Alice compose avec Jean Nohain ses premiers génériques télé pour "Le grand club" et "Nous qui verrons la lune", deux émissions qu'elle co-anime avec son idole... Gilbert Bécaud. Alice monte pour la première fois sur la scène de l' Olympia, avec Colette Deréal et Lenny Escudero, du 26 décembre 1963 au 12 janvier 1964. Puis elle rencontre Jean-Claude Vannier et part en tournée avec, entre autres, Orlando, Pierre Perret et les Célibataires. Après un passage à Bobino en première partie de Nougaro , la maternité met provisoirement fin à sa carrière d'interprète en 1967 ! Sur les conseils de son mari qui devient son éditeur, Alice décide alors de placer ses compositions à d'autres interprètes : Gilles Dreu est un des premiers à chanter du Dona ("On revient toujours", 1968). Bientôt, la crème de la variété de l'époque lui emboîte le pas et adopte les musiques d'Alice, sur des textes de Pierre Delanoë ou Claude Lemesle , deux complices qui ne la quitteront plus, ou plus occasionnellement d'autres grandes signatures comme Michèle Vendôme, Maurice Genevoix ou Vline Buggy : Claude François ("C'est de l'eau, c'est du vent", 1970), Joe Dassin ("De ton côté du lit", 1973), Enrico Macias ("Un homme a traversé la mer", 1973), Régine ("La bonne adresse pour chiens perdus", 1973)...
A la même époque, elle fait la rencontre de celui qui va rester jusqu'à ce jour son alter ego, son double musical : Serge Lama . En 1971, elle écrit pour lui "Un j ardin sur la terre". Sélectionnée pour l'Eurovision, la chanson passe inaperçue mais initie une collaboration à quatre mains qui va engendrer quelques unes des plus belles chansons françaises, signées Lama pour les paroles, et Dona pour la musique : "Je suis malade" (1973) bien sûr, véritable standard popularisé par Dalida, "La chanteuse à vingt ans" (1973), "L'Algérie" (1975), "La vie Lilas" (1975), "Femme, femme, femme" (1978) et plusieurs dizaines d'autres perles...
Le tandem écrit aussi pour d'autres grandes voix , de Mireille Mathieu à Nana Mouskouri. Poussée par Serge Lama et Claude Lemesle, Alice relance au même moment sa carrière d'interprète . Entre 1977 et 1987, elle enregistre huit albums , ajoutant au passage quelques incontournables à son répertoire, comme "L'antistar", "Chanson Hypocalorique", "Femme et musique", le somptueux "De la tendresse", "Vivre", "Simplement", "Etre une femme à 40 ans", reprise par Ginette Reno, etc. Pendant ces années, elle est à trois reprises à l'affiche de l'Olympia , poussée par Gilbert Bécaud, fidèle parrain de métier, qui lui fait même le cadeau de lui prêter son célèbre piano bleu pour son premier passage en vedette boulevard des Capucines , un beau soir de 1978. Disques solo, compositions pour les autres, elle écrit aussi pour Serge Reggiani ("Ma dernière volonté", "Le barbier de Belleville"), Dalida ("Comme si tu étais là", "Tables séparées"), Sylvie Vartan ("Riche"), Annie Girardot ("Le dernier baiser"), Sheila ("C'est écrit"), Ginette Reno ("L'argent", "Du bleu, du bleu"), sous le regard amical de Brassens , qui l'a définitivement reconnue comme l'une des siens.
Mais à la fin des années 80, Alice explore d'autres horizons musicaux : présentatrice d'émissions télé et radio, programmatrice de Bobino, présidente de la commission des Variétés de la Sacem, elle n'en oublie pas pour autant l'enseignement de sa chère Mireille, en créant ''Les Ateliers Alice Dona'' , qui formeront des dizaines de jeunes talents, auteurs, compositeurs, interprètes. Alice est ainsi une des premières à donner leur chance à de nouveaux talent. En 1999, Alice retrouve le chemin des studios d'enregistrement. C'est l'album "Couleurs de l'ombre" , sombre mais magnifique témoignage d'une femme de cinquante ans, avec des textes poignants comme "Je pense à l'âge" ou "Dans ce monde-là" ; En prolongement logique de ce retour discographique, Alice remonte enfin sur scène : en 2001, dans l'intimité du Théâtre de Dix Heures , elle offre à son public un florilège de ses plus belles chansons et compositions, qu'elle rassemble aussi sur l'album "Femme et Musique" , paru la même année. Cette fois-ci, Alice est de retour, et pour de bon ! L'année suivante, elle "boucle la boucle", en rendant un hommage unanimement salué à Gilbert Bécaud, dans un spectacle et un disque joliment intitulés "Merci beaucoup Monsieur Bécaud" .
Alice marque son r etour sur la scène de l'Olympia , le 12 janvier 2004, pour ses ''Quarante ans déjà !'' , un spectacle qui retrace tous les grands moments de sa carrière. Suite au succès de son Olympia, en parallèle à la parution de son livre témoignage ''Cricri'', Alice sort un cd live pour la première fois de sa carrière... une façon de revivre cette soirée exceptionnelle à l'Olympia marquée par des duos avec Serge Lama, Enrico Macias, Liane Foly, Michel Fugain, Patrick Sébastien et Michel Drucker. Prenant goût à l'écriture, Alice Dona enchaîne les ouvrages. En janvier 2006, elle publie "Mamie a eu 15 ans" , un récit mettant en scène les relations entre une grand-mère et sa petite-fille. Puis, en mai 2007, sort un nouvel ouvrage intitulé "Chanteuses ou coiffeuses ?" dans lequel elle retrace le parcours de ses seize années de cours avec "Les Ateliers Alice Dona". Le 13 mai 2009, Alice sort un roman intitulé "Le Mas des Dames" aux Editions Anne Carrière ; puis, le 23 février 2011, "Quelques cerises sur mon gâteau" , un livre de souvenirs de ses plus belles rencontres, paru aux Editions Flammarion. Parallèlement, elle rejoint la troupe du spectacle d'"Age Tendre et Têtes de Bois" pour les Saisons 6 et 7, faisant ainsi la tournée de toutes les grandes salles de France... Alice fête en 2013 ses 50 ans de carrière : elle sort, le 28 janvier, " Mes petites madeleines" , un nouvel album dans lequel elle interprète les chansons qui l’ont marquée depuis son enfance, dont la réalisation est signée Jean-Félix Lalanne. Les 6 et 7 avril, Alice est en concert à l’Alhambra . Elle travaille actuellement à l’écriture de son nouvel album.
Alice en concert à l’Alhambra